Carnaciers avares
Si tu m’aimes si tu meurs
Retiens près de moi
Aux sombres leurres
De leurs vives voies
Qui tournent dans les cœurs
Affranchissent les erreurs
Cotonneuses et absentes
Dans la chaleur errante
Postérité tournante
D’où luisent les amarres
Destrier amantes
Carnassiers avares