La fin d’un temps
Adolescent de fureur
Regroupe la fulgurance de la maitrise de tes sens
Pour séduire la vitalité que j’observe
Que tu es beau en haut de cette colline maligne
Qui te porte magistralement
En recyclant chacun de tes soupirs
Tu exultes la passion qui coule
Le long de la croix où tu me tues
Ne m’épargne pas
Finis ton œuvre
Je saurai être digne dans la douleur
Puis dans la mort
Si tu m’y emmènes
Partout je te suivrai patiemment