Le monde ne s’améliore pas
Je bascule dans la stupeur
Dans la peur de la maladie du regard
Je tire sur la corde
Où bientôt je serai pendu
Au bout de la rumeur assassine
Qui coule sur mon visage
Aucun présage ne prédit jamais
La chute des ronces épineuses
L’intervention de l’Autre augmente
Et annihile
Toutes formes d’espoir