Les données mortes
Sur la tombe aux pleurs acides
Sombre l’ombre putride
Sondant l’onde arrive
Avide longtemps du printemps
Les fruits cultivés dans la pénombre
Peints à la main dans les combles
Diffusent les amours profondes
De la chair des canons immondes
Mercenaires de la mort dessalée
Les secrets changent les sables enlisés
Murissent la peau qui pétrit
Le chante des candeurs océanes
Où dort le liquide aux reflets azur