Souverain
L’immense chenille de Pâques redoute l’attaque solitaire des coutumes connues
Enflammée par la poussière
Elle déclare l’ennui passager d’une illusion perdue qui noue toute vraisemblance avec la chance
L’incroyable rivière de rubis qui se reflète dans les soleils
Autant que l’anneau ruisselant et serpentant dans sa blessure
D’où viendrait cette solitude amère semblable à l’ancre des navires échoués
Le jugement du livre sur la mousse abondante semble suranné
Mais l’humidité omniprésence comptabilise les tentations automnales
Rien n’est plus beau que les lèvres entourées par l’amour