Vénus de nuit
La descente de l’amour
Enflamme les oripeaux
Martyrisant l’organe
De l’opium marronnier
Le calme des tempêtes
Avarié par la pluie
Distille les réseaux troublés
Selon les astres décimaux
La candeur océane
Masque la tyrannie
De l’odeur des tristesses
Si aucun ne court
Allez au-devant
De la douleur des téléphones
Que luisent dans la nuit
Mortelle et synthétique