Qui soudain n’est plus qu’une
Un âge perdu
Tu me parles d’un amour qui pleure des larmes de feu
Ignorant ta beauté bâtie aux heures de décembre
Quand ton visage clos sur ton miroir ambré
Distrayant la nuit dans un ciel aux nuages cotonneux
Je rêve engourdi ans les herbes folles
Entre la lumière de la lyre et le filament des mélodies
Magnifiée par la radiance de mortes bestioles
Cathédrale d’émotions cadrées par les litanies
La chimère des âges oubliés a sévi dans la grotte
Immensité sévère parsemée de matinées de mai
Aux ombres masquées qui parlent de ce monde polyglotte
Perdue dans les sourires transparents et gourmets.