Sucrés sacrés
Ta chevelure de feu
Aux allures d’acier trempé
Par la sueur de ton corps
Chauffé par tant de mouvement
Tes yeux durs au néant
Volent dans la nuit sombre
Quand sonne l’angélus
Et ce que cris aux amants
Aimés et chéris
Ce moment ce souffle que tu guettes
Embaumés par les saveurs
Intenses et poivrés
Que tu bois sur le tas
Éblouis par la stupeur